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Parallèlement au travail de nos équipes, il existe une arrière-scène chez nos producteurs. Je passe rapidement sur tout le travail dans les champs et avec les animaux qui occupent 7/7 et 20 h /par jour sur 24 h. Je passe aussi sur leur travail administratif obligatoire : l’achat des semences, les comptes, les rapports, la gestion des employés, les inventaires, le marketing, la publicité, les réseaux sociaux, les liens avec les différents interlocuteurs officiels du gouvernement ou des bureaux paragouvernementaux, les institutions bancaires, etc. Passons aussi sur l’entretien de la machinerie, les déplacements à l’abattoir ou autre, les factures à faire, etc., etc. Ce sont des entreprises qui, en plus de fonctionner adéquatement, doivent faire avec la nature, la cuisine, et les bêtes !
Mais, je veux en arriver à un autre aspect vital du métier de producteur agricole : la recherche et le développement. Nous le savons, comme clients, nous sommes insatiables. Nous voulons de la nouveauté et nous en voulons toujours plus. Alors, comme nos producteurs sont consciencieux et nous connaissent bien, ils essaient de se renouveler en nous offrant souvent un produit nouveau. Mais savons-nous que ce nouveau produit exige un minimum de 6 à 8 mois de recherches et de pratiques actives, de tests divers, avant qu’il soit soumis à notre gout et à notre curiosité? Recherche active, certes, à laquelle il faut ajouter quelques mois de cogitations avant de se mettre au boulot. Un produit nouveau, c’est de l’or en barre. Aussi, à chaque fois qu’un exposant nous annoncera du nouveau, pensons à ce que tout ce que cela implique d’efforts et d’investissement. Et participons à la découverte d’une nouvelle saveur, en nous portant volontaire pour un essai en primeur. Nous pourrons toujours dire ensuite aux amis que nous avons fait une découverte!
À la semaine prochaine, pour la suite des «délices obscurs»!
Diane Seguin

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